Derrière leurs machines, Catherine Brevers et Mathylde Demarez pilotent de bout en bout une forme hybride, hallucinatoire et tourbillonnante, naviguant entre concert électro-punk, performance, animation, vidéo live, science-fiction et roman d’amour, pour raconter le triste destin de Lala Ferrero.
Née dans le Berry, Lala Ferrero a un sexe qui n’arrête pas de grandir. Qui devient énorme. Qui produit un concentré de phéromones ultra-puissant à l’effet dévastateur. Lala est une super héroïne, mais malgré elle. Un amas de poils, d’odeurs, de sécrétions qui n’aspire pourtant qu’à l’anonymat, à connaître l’amour, à avoir des amis, à vivre une vie « normale ».
Ballotée dans une lutte entre raison et pulsion, entre désir et conventions, Lala a-t-elle d’autre choix que la fuite en avant vers encore plus de monstruosité ? Est-ce qu’on nait « monstre » ou est-ce qu’on le devient ?
+ + + + + + + + + + + + + +
Conception
Catherine BREVERS & Mathylde DEMAREZ
en collaboration avec Mélanie ZUCCONI
Mise en scène et dessin animé
Ludovic BARTH
Interprétation
Catherine BREVERS, Mathylde DEMAREZ
Animations 3D & postiches
Laurent TALBOT
Création musicale
Gregory DURET, Benjamin BOUFFIOUX
Aide à l’écriture
Marielle PINSARD, Marie HENRY
Création Lumière
Marc LHOMMEL
Régie Lumière
Nicolas POLET
Son et coordination vidéo
Benjamin DANDOY
Assistanat à la mise en scène
Thymios FOUNTAS
Production/Diffusion
Pierre-Laurent Boudet – Entropie Production
Production
Clinic Orgasm Society
Coproductions
Théâtre Varia / Centre Dramatique (Bruxelles) ; Manège.Mons / Centre Dramatique (Mons) ; Le Grand Bleu / ENPDA Région Nord Pas-de-Calais (Lille) ; Théâtre de la Balsamine (Bruxelles) ; Palais des Beaux-Arts (Charleroi)
Avec l’aide de
SACD, Wallonie-Bruxelles International (WBI), Wallonie-Bruxelles Théâtre et Danse (WBTD), Service des Arts de la Scène du Ministère de la Culture de la Communauté Française – Service du Théâtre.
2014
21/02 > 01/03 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
30/01 : La Halle aux Grains, Blois (F)
2013
31/10 > 01/11 : Théâtre de l’Ancre, Festival BIS-ARTS, Charleroi (B)
2012
22 > 24/11 : Le Grand Bleu ENPDA, Lille (F)
12 > 27/10 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
“(…) Nous allons d’émerveillements en cauchemars en quelques secondes. C’est un spectacle où la technique est mise au service d’une mise en scène intelligente, barrée, saisissante, qui interpelle autant qu’elle divertit ! (…) Ce spectacle est une petite bombe de créativité, de force, d’inspiration. Le pouvoir du sexe sur la gérance du monde et des rapports humains, du rapport à sa propre séduction, jusqu’à sa place dans la société finalement. (…) C’est loufoque, tout en laissant pointer un réalisme féroce. C’est un spectacle où les comédiennes vont au bout d’elles même, dans cette générosité et cette appétence à être et non à démontrer. (…) Allez le voir, je vous le conseille sincèrement. Théâtre-performance qui expérimente avec passion et précision !
Julie COSTA
MY-METRO.fr, 23 novembre 2012
+ + + + + + + + + + + + + +
“A travers le portrait complètement loufoque d’une Lala Ferrerro on-ne-peut-plus atypique, la Clinic Orgasm Society propose ici une fresque haletante 100% home made faite d’entremêlements d’émotions et de textes poignants évoquant avec brio le thème de la normalité, de l’anormalité, de la norme alitée. (…)
Même contre son gré, durant toute la pièce, l’auditeur est plongé dans la réflexion et l’introspection, que cela soit sur des sujets tels que l’éducation, les tabous, les conséquences des mensonges, le jugement social ou encore sur la façon dont tout un chacun perçoit son corps à divers moments de sa vie. (…) Un travail de titan pour une pièce l’étant tout autant. En effet, dès l’ouverture, le spectateur n’a aucun moyen de rester indifférent à ces sons électroniques répétitifs venus des entrailles de la femme (…).”
Yvan PADUREK
CULTURE ET COMPAGNIE, www.culturetco.com, 16 octobre 2012
+ + + + + + + + + + + + + +
“La tragique et loufoque histoire de Lala Ferrero, dotée d’un vagin géant qui lui pourrit la vie et transforme littéralement l’état du monde entier. Ce premier volet de la nouvelle trilogie de la Clinic Orgasm Society (“J’ai gravé de nom de ma grenouille dans ton foie”) livre une réflexion originale sur nos sociétés (…). On est surtout scotché à la performance de Catherine Brevers et Mathylde Demarez jonglant constamment avec le son, la musique, les transformations vocales et les images qu’elles commandent en direct.”
Jean-Marie WYNANTS
MAD, LE SOIR, 24 octobre 2012
+ + + + + + + + + + + + + +
“(…) nous sommes entraînés, par petites touches d’humour noir, dans un récit au ton franchement décalé, aux propos volontairement figuratifs et amplifiés. (…) Chaque scène est différente par ses techniques visuelles, musicales, de jeu, de costume… Le public se laisse embringuer de plus en plus profondément dans cette plongée dans la déroute, dans l’enfermement psychologique vécu par Lala, dans la profondeur de ses souffrances. Tout cela séduit, intrigue, surprend et captive. (…) Pré en devient rafraîchissant, drôle, extravagant, imaginatif et culotté.”
Muriel HUBLET
PLAISIR D’OFFRIR, www.plaisirdoffrir.be, 24 octobre 2012
+ + + + + + + + + + + + + +
“Parler de « proposition indécente » serait user d’un aimable euphémisme. Et singulièrement réducteur. Pour la forme, et pour le fond, ce spectacle met à mal les tabous et clichés sur la sexualité performante et la normalité triomphante visant l’uniformité (…) Elles sont deux à raconter, chanter, dessiner l’histoire de Lala et à l’incarner tour à tour, deux comédiennes et techniciennes son et lumière à la fois, d’un punch remarquable ! C’est bien le féminin dans ce qu’il a de plus fantastique que conteuses et DJ vont mettre en avant. Même si elles se sont entourées d’éléments masculins en coulisses, indispensables pour assurer un dispositif scénique étonnant et obtenir un « opéra-electro-rock-punk », sorte d’objet musical et visuel original qui secoue sous son humour noir.”
Suzane VANINA
RUE DU THÉÂTRE, www.ruedutheatre.eu, 24 octobre 2012
+ + + + + + + + + + + + + +
“Transdisciplinaire, mêlant jeu, musique, vidéo et bidouillages technologiques « live », la déjantée compagnie Clinic Orgasm Society aime l’interactivité sur scène qui – sous des allures de « brol » – surprend de dextérité et d’à-propos. (…) Derrière cet ovni culotté, cette compagnie théâtrale s’interroge : « jusqu’où l’être humain peut aller pour pouvoir dire au fond qu’il est normal, les contraintes qu’il peut s’infliger, les tensions qu’il peut subir de lui-même? ».”
Nurten AKA
AGENDA, Semaine du 19 au 25/10/12
Derrière leurs machines, Catherine Brevers et Mathylde Demarez pilotent de bout en bout une forme hybride, hallucinatoire et tourbillonnante, naviguant entre concert électro-punk, performance, animation, vidéo live, science-fiction et roman d’amour, pour raconter le triste destin de Lala Ferrero.
Née dans le Berry, Lala Ferrero a un sexe qui n’arrête pas de grandir. Qui devient énorme. Qui produit un concentré de phéromones ultra-puissant à l’effet dévastateur. Lala est une super héroïne, mais malgré elle. Un amas de poils, d’odeurs, de sécrétions qui n’aspire pourtant qu’à l’anonymat, à connaître l’amour, à avoir des amis, à vivre une vie « normale ».
Ballotée dans une lutte entre raison et pulsion, entre désir et conventions, Lala a-t-elle d’autre choix que la fuite en avant vers encore plus de monstruosité ? Est-ce qu’on nait « monstre » ou est-ce qu’on le devient ?
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Conception
Catherine BREVERS & Mathylde DEMAREZ
en collaboration avec Mélanie ZUCCONI
Mise en scène et dessin animé
Ludovic BARTH
Interprétation
Catherine BREVERS, Mathylde DEMAREZ
Animations 3D & postiches
Laurent TALBOT
Création musicale
Gregory DURET, Benjamin BOUFFIOUX
Aide à l’écriture
Marielle PINSARD, Marie HENRY
Création Lumière
Marc LHOMMEL
Régie Lumière
Nicolas POLET
Son et coordination vidéo
Benjamin DANDOY
Assistanat à la mise en scène
Thymios FOUNTAS
Production/Diffusion
Pierre-Laurent Boudet – Entropie Production
Production
Clinic Orgasm Society
Coproductions
Théâtre Varia / Centre Dramatique (Bruxelles) ; Manège.Mons / Centre Dramatique (Mons) ; Le Grand Bleu / ENPDA Région Nord Pas-de-Calais (Lille) ; Théâtre de la Balsamine (Bruxelles) ; Palais des Beaux-Arts (Charleroi)
Avec l’aide de
SACD, Wallonie-Bruxelles International (WBI), Wallonie-Bruxelles Théâtre et Danse (WBTD), Service des Arts de la Scène du Ministère de la Culture de la Communauté Française – Service du Théâtre.
2014
21/02 > 01/03 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
30/01 : La Halle aux Grains, Blois (F)
2013
31/10 > 01/11 : Théâtre de l’Ancre, Festival BIS-ARTS, Charleroi (B)
2012
22 > 24/11 : Le Grand Bleu ENPDA, Lille (F)
12 > 27/10 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
“(…) Nous allons d’émerveillements en cauchemars en quelques secondes. C’est un spectacle où la technique est mise au service d’une mise en scène intelligente, barrée, saisissante, qui interpelle autant qu’elle divertit ! (…) Ce spectacle est une petite bombe de créativité, de force, d’inspiration. Le pouvoir du sexe sur la gérance du monde et des rapports humains, du rapport à sa propre séduction, jusqu’à sa place dans la société finalement. (…) C’est loufoque, tout en laissant pointer un réalisme féroce. C’est un spectacle où les comédiennes vont au bout d’elles même, dans cette générosité et cette appétence à être et non à démontrer. (…) Allez le voir, je vous le conseille sincèrement. Théâtre-performance qui expérimente avec passion et précision !
Julie COSTA
MY-METRO.fr, 23 novembre 2012
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“A travers le portrait complètement loufoque d’une Lala Ferrerro on-ne-peut-plus atypique, la Clinic Orgasm Society propose ici une fresque haletante 100% home made faite d’entremêlements d’émotions et de textes poignants évoquant avec brio le thème de la normalité, de l’anormalité, de la norme alitée. (…)
Même contre son gré, durant toute la pièce, l’auditeur est plongé dans la réflexion et l’introspection, que cela soit sur des sujets tels que l’éducation, les tabous, les conséquences des mensonges, le jugement social ou encore sur la façon dont tout un chacun perçoit son corps à divers moments de sa vie. (…) Un travail de titan pour une pièce l’étant tout autant. En effet, dès l’ouverture, le spectateur n’a aucun moyen de rester indifférent à ces sons électroniques répétitifs venus des entrailles de la femme (…).”
Yvan PADUREK
CULTURE ET COMPAGNIE, www.culturetco.com, 16 octobre 2012
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“La tragique et loufoque histoire de Lala Ferrero, dotée d’un vagin géant qui lui pourrit la vie et transforme littéralement l’état du monde entier. Ce premier volet de la nouvelle trilogie de la Clinic Orgasm Society (“J’ai gravé de nom de ma grenouille dans ton foie”) livre une réflexion originale sur nos sociétés (…). On est surtout scotché à la performance de Catherine Brevers et Mathylde Demarez jonglant constamment avec le son, la musique, les transformations vocales et les images qu’elles commandent en direct.”
Jean-Marie WYNANTS
MAD, LE SOIR, 24 octobre 2012
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“(…) nous sommes entraînés, par petites touches d’humour noir, dans un récit au ton franchement décalé, aux propos volontairement figuratifs et amplifiés. (…) Chaque scène est différente par ses techniques visuelles, musicales, de jeu, de costume… Le public se laisse embringuer de plus en plus profondément dans cette plongée dans la déroute, dans l’enfermement psychologique vécu par Lala, dans la profondeur de ses souffrances. Tout cela séduit, intrigue, surprend et captive. (…) Pré en devient rafraîchissant, drôle, extravagant, imaginatif et culotté.”
Muriel HUBLET
PLAISIR D’OFFRIR, www.plaisirdoffrir.be, 24 octobre 2012
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“Parler de « proposition indécente » serait user d’un aimable euphémisme. Et singulièrement réducteur. Pour la forme, et pour le fond, ce spectacle met à mal les tabous et clichés sur la sexualité performante et la normalité triomphante visant l’uniformité (…) Elles sont deux à raconter, chanter, dessiner l’histoire de Lala et à l’incarner tour à tour, deux comédiennes et techniciennes son et lumière à la fois, d’un punch remarquable ! C’est bien le féminin dans ce qu’il a de plus fantastique que conteuses et DJ vont mettre en avant. Même si elles se sont entourées d’éléments masculins en coulisses, indispensables pour assurer un dispositif scénique étonnant et obtenir un « opéra-electro-rock-punk », sorte d’objet musical et visuel original qui secoue sous son humour noir.”
Suzane VANINA
RUE DU THÉÂTRE, www.ruedutheatre.eu, 24 octobre 2012
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“Transdisciplinaire, mêlant jeu, musique, vidéo et bidouillages technologiques « live », la déjantée compagnie Clinic Orgasm Society aime l’interactivité sur scène qui – sous des allures de « brol » – surprend de dextérité et d’à-propos. (…) Derrière cet ovni culotté, cette compagnie théâtrale s’interroge : « jusqu’où l’être humain peut aller pour pouvoir dire au fond qu’il est normal, les contraintes qu’il peut s’infliger, les tensions qu’il peut subir de lui-même? ».”
Nurten AKA
AGENDA, Semaine du 19 au 25/10/12