Pierre angulaire dans le parcours de la Clinic Orgasm Society, “J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie” a été notre première tentative d’appropriation et de détournement ludique d’un outil technologique, avec l’objectif de faire exister simultanément, et à partir de la même matière scénique, deux univers a priori opposés : l’un chaotique, débordant et fiévreux, l’autre précis, narratif et linéaire.
“Qu’est-ce qui fait de moi un homme ou une femme ?“ C’est ce que semble chercher ce couple ordinaire, étalant sur scène et devant l’œil d’une caméra ses angoisses et ses fantasmes dans un délire anarchique où la construction de l’identité sexuelle et les relations de couple ne sont ni décrites, ni même décryptées, mais littéralement explosées.
Impuissants, ils se raccrochent aux contes de fées, rêvent de princesses en pâmoison ou de princes charmants dévoués. Mais du chaos de leurs errances va naître quelque chose de surprenant, un conte d’un nouveau genre…
+ + + + + + + + + + + + + +
Conception
Ludovic BARTH & Mathylde DEMAREZ
Vidéo
Grégory DURET
Interprétation
Ludovic BARTH, Sébastien COURTOY, Mathylde DEMAREZ, Grégory DURET
Création Musique
Grégory DURET & Ludovic BARTH
Création Lumière
Raphaël NOËL
Ingénieur du Son et Direction Technique
Sébastien COURTOY
Conseiller Artistique
Fabrice GORGERAT
Production
Clinic Orgasm Society ; Romaine Noir (B) ; Margarita Production (B) ; Les Hérétiques (CH)
Coproductions
Théâtre 2.21, Lausanne ; Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles ; Microproduction, Bruxelles.
Remerciements
GC De Pianofabriek, Stéphane Blok, Cie Jours Tranquilles, Frédéric Darras, Catherine Brevers, Jessica Champeaux, Théâtre Varia, Robert-Gaël Maleux, Julien Faure, Mélanie Zucconi, Régis Callens, Manon Duret, Marguerite Procureur, Eric Demarez, Dany Duret, Jean Barth, Eric Ronsse, Indirah Osumba, Théâtre Océan Nord, Espace Senghor, Marc Defrise, Théâtre des Tanneurs, Cie Mossoux-Bonté, Nadine vzw, Fred Op de Beek, Harold Henning, Laurence Hermant, Frédéric Vannes
+ + + + + + + + + + + + + +
2015
24/09 : Festival Moussons d’été, Pont-à-Mousson (F)
07 > 09/05 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
2011
13, 15 et 16/12 : Théâtre Le Grand Bleu, Lille (F)
2010
29/11 > 01/12 : L’Espal, Le Mans (F)
12/104 : Université François Rabelais, Tours (F)
27/02 : La Halles aux Grains, Blois (F)
25/02 : L’Archipel, Fouesnant (F)
19/02 : Eysines, Bordeaux (F)
19 > 23/01 : Théâtre Le Grand Bleu, Lille (F)
2009
13/06 : Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles (B)
26/05 : Centre Culturel Adhalard, Corbie (F)
23 > 24/04 : Centre Culturel de Péruwelz (B)
12/02 : Festival VRAK, Bruxelles (B)
2008
03/12 : Le Palace, Montataire (F)
28/11 : Vernouillet (F)
25/11 : Festival JAZZ SOUS LES POMMIERS, Coutances (F)
28 > 29/10 : Festival GENDERBENDER, Bologna (I)
06 > 07/10 : Scène Nationale L’Equinoxe, Châteauroux (F)
27/09 : Centre Culturel de Dinant (B)
19/07 : Festival CONTRE-COURANT, Avignon (F)
08 > 09/07 : Festival DIESE, Dijon (F)
27/06 : Festival NUITS CARREES, Antibes (F)
23/05: Salle Jean Vilar, Revin (F)
04 > 05/04 : Comédie de Saint-Etienne (F)
01/04 : Espace Jean Vilar, Ifs (F)
30/03 : Scène Nationale Le Carré, Château-Gontier (F)
28/03 : Théâtre de l’Hôtel de Ville, Saint-Barthélémy-D’Anjou (B)
25 > 26/03 : Onyx, Saint-Herblain (F)
18 > 20/03 : TU, Nantes (F)
15/03 : Théâtre de Verre, Châteaubriant (F)
11/03 : Manicle, Le Havre (F)
06/03 : Théâtre du Saulcy, Metz (F)
28 > 29/02 : Centre Culturel René Magritte, Lessines (B)
20 > 22/02 : Maison de la Culture, Tournai (B)
12/02 : Maison Folies, Mons (B)
07 > 09/02 : Atelier 210, Bruxelles (B)
30/01 > 02/02 : Théâtre Royal de Namur (B)
2007
14/12 : Université Grand Littoral, Dunkerque (F)
09/12 : Festival PAROLES D’HIVER, Uzel (F)
07/12 : Théâtre de Roanne (F)
27, 29 et 30/11 : Maison des Comonis, Le-Revest-Les-Eaux (F)
24/11 : Akwaba, Châteauneuf-De-Gadagne (F)
16/11 : La Grande Ourse, Villeneuve-Les-Maguelones (F)
13/11 : ATP Aude, Théâtre Naloba, Pennautier (F)
10/11 : Festival PRIZUNIQUE, Théâtre de la Passerelle, Saint-Brieuc (F)
06/11 : Théâtre de la Tête Noire, Saran (F)
31/10 > 03/11 : Festival BIS-ARTS, Charleroi (B)
16/07 : Théâtre de l’Albanel, Treyvaux (CH)
02/06 : Arcques (F)
12/05 : Festival CHEMINS DE TRAVERSE, Noisy-Le-Grand (F)
24 > 27/04 : Festival MYTHOS, Rennes (F)
16/02 : Centre Culturel George Sand, Vitrolles (F)
08 > 09/02 : Trioletto, Montpellier (F)
26/01 > 03/02 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
2006
07 > 27/07 : Théâtre des Doms, Festival d’Avignon (F)
2005
16/12 : Carte Blanche à Flexa Lyndo, Théâtre Royal de Namur (B)
26 > 30/10 : Théâtre 2.21, Lausanne (CH)
“Le punk, c’est beau comme l’adolescence. C’est percutant, follement joyeux, morbide, sans limite, bruyant, contradictoire, électrique et ça résonne. « J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie » est LE spectacle punk de ce festival 2006. Sur scène : simplement l’apocalypse. (…) Ça joue de la guitare, des percus. Ça pense aussi. Ça crie, ça saigne, ça mange, ça vomit. Ça fait de l’humour, ça provoque. Pour que ce soit plus drôle, ça se filme. On pourrait croire qu’ils font n’importe quoi. Ce serait déjà pas mal vu la façon dont est baladé (consentant et rieurs) dans ce délire d’images, de sons, de sens. (…) On est encore dans la première partie, et ce n’est pas la plus surprenante.”
H.G.M.
agenda-culturel.com, 14 juillet 2006
+ + + + + + + + + + + + + +
“En s’aventurant au Théâtre des Doms, on tombe sur une perle au titre improbable, second spectacle totalement foutraque et génial de la Clinic Orgasm Society. Ludovic Barth et Mathylde Demarez, concepteurs de cet OVNI disent aimer l’imperfection, et ils font ça parfaitement. (…) Difficile à raconter brièvement, et sans déflorer la trouvaille qu’ils mettent en oeuvre : Il faut littéralement le voir pour le croire.”
Jean-Marc ADOLPHE
Charlie Hebdo, 26 juillet 2006
+ + + + + + + + + + + + + +
“Cruauté et humour. Assortis d’un nonsense qui semble régner en maître. Où diable tout cela va t-il nous mener? Ce qui jusque là apparaît comme un univers – irrésistible autant qu’impénétrable -, en phase de déconstruction avancée, révélera bientôt, au contraire, une construction systématique et singulièrement solide. (…) Foutraque et facétieux, survitaminé et hilarant, le spectacle recèle aussi une gravité sombre, une étrangeté sauvage, le tout régi par la formidable et rigoureuse inventivité d’une jeune équipe.”
Marie BAUDET
LA LIBRE BELGIQUE, 24 juillet 2006
+ + + + + + + + + + + + + +
“Un spectacle indescriptible. Difficile d’en parler vraiment sans rien déflorer, pour vous en laisser, à vous aussi, le plaisir de la découverte. (…) Il vous faudra pousser les portes du théâtre pour découvrir cette petite perle d’inventivité.
Une idée inouïe et plus qu’originale va transformer ce foutoir burlesque en un ensemble délicieusement présenté. (…) Une seule conclusion donc : Chapeau bas Messieurs Dames!”
Muriel HUBLET
PLAISIR D’OFFRIR.be, 30 janvier 2007
+ + + + + + + + + + + + + +
“Un véritable OTNI (objet théâtral non idéntifié!). Une pure merveille complètement délirante, des comédiens déjantés, un concept audacieux, une mise en scène colorée et très rythmée autour du couple, du conte, de la dissection des sentiments humains. Je ne peux dévoiler la surprise, vous m’excuserez de ne pas décrire davantage cette pièce à voir absolument!”
Chloé SONNIER
VIVANTMAG.fr
+ + + + + + + + + + + + + +
“Ce conte d’un genre particulier est un foutoir magnifique, dépoussiérant avec humour les histoires de bons rois et de méchantes sorcières. (…) Drôle, le spectacle s’avère aussi cinglant. Prise sur le vif, entre sang et chair fraîche, la dissection des relations humaines prend même des allures d’expérience scientifique. (…) « Dès le début, précise Mathylde, on voulait travailler sur la matière, le concret, la viande. Un jour, Ludovic s’est imaginé graver le nom de sa copine dans un steak, comme on le graverait dans l’écorce d’un arbre. Pour lui, c’était une nouvelle façon de dire « Je t’aime ». Puis, dans le contexte du conte, des grenouilles et des princes, c’est devenu : J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie ».”
Catherine MAKEREEL
MAD, Le Soir, 10 janvier 2007
+ + + + + + + + + + + + + +
“C’est drôle, décapant, étourdissant et, soudain… (…) En tout cas, on est embarqué dans ce tourbillon ininterrompu de mouvements, de réparties cinglantes, de clins d’oeil trash et d’énergie rock. En fait, on s’amuse beaucoup mais, sans que cela ait beaucoup d’importance, on ne comprend pas bien où ils nous emmènent. (…) La seule certitude, c’est que le délire n’est pas prêt de s’arrêter. (…) Le procédé est si ingénieux qu’on s’ébahit autant sur la cuisine du spectacle que sur la nouvelle histoire qu’ils nous racontent. Et c’est bien suffisant pour rire et être conquis jusqu’au bout.”
Gilles KERDREUX
OUEST FRANCE, 26 AVRIL 2007
+ + + + + + + + + + + + + +
“Accueil déstabilisant par la longueur inconnue d’un silence en théâtre. Scène sans coulisses. Rassemblement d’éléments hétéroclites et parfois étranges sur la scène. (…) Les sons et vidéo savamment utilisés, les chorégraphies pulsionnées accompagnent ce théâtre qui montre ses coutures et ficelles sans complexe à une salle hilare. C’est avec beaucoup d’humour et de dérision que la Clinic Orgasm Society nous parle du thème de la rencontre des sexes dans ce qu’ils ont chacun de fondamental. (…) Il en résulte un chaos (semble-t-il), sur scène et dans l’histoire, aussi réjouissant que les histoires que nous nous racontions tous enfants.”
Catherine GUIZET
LA PROVENCE, 13 juillet 2006
Pierre angulaire dans le parcours de la Clinic Orgasm Society, “J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie” a été notre première tentative d’appropriation et de détournement ludique d’un outil technologique, avec l’objectif de faire exister simultanément, et à partir de la même matière scénique, deux univers a priori opposés : l’un chaotique, débordant et fiévreux, l’autre précis, narratif et linéaire.
“Qu’est-ce qui fait de moi un homme ou une femme ?“ C’est ce que semble chercher ce couple ordinaire, étalant sur scène et devant l’œil d’une caméra ses angoisses et ses fantasmes dans un délire anarchique où la construction de l’identité sexuelle et les relations de couple ne sont ni décrites, ni même décryptées, mais littéralement explosées.
Impuissants, ils se raccrochent aux contes de fées, rêvent de princesses en pâmoison ou de princes charmants dévoués. Mais du chaos de leurs errances va naître quelque chose de surprenant, un conte d’un nouveau genre…
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Conception
Ludovic BARTH & Mathylde DEMAREZ
Vidéo
Grégory DURET
Interprétation
Ludovic BARTH, Sébastien COURTOY, Mathylde DEMAREZ, Grégory DURET
Création Musique
Grégory DURET & Ludovic BARTH
Création Lumière
Raphaël NOËL
Ingénieur du Son et Direction Technique
Sébastien COURTOY
Conseiller Artistique
Fabrice GORGERAT
Production
Clinic Orgasm Society ; Romaine Noir (B) ; Margarita Production (B) ; Les Hérétiques (CH)
Coproductions
Théâtre 2.21, Lausanne ; Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles ; Microproduction, Bruxelles.
Remerciements
GC De Pianofabriek, Stéphane Blok, Cie Jours Tranquilles, Frédéric Darras, Catherine Brevers, Jessica Champeaux, Théâtre Varia, Robert-Gaël Maleux, Julien Faure, Mélanie Zucconi, Régis Callens, Manon Duret, Marguerite Procureur, Eric Demarez, Dany Duret, Jean Barth, Eric Ronsse, Indirah Osumba, Théâtre Océan Nord, Espace Senghor, Marc Defrise, Théâtre des Tanneurs, Cie Mossoux-Bonté, Nadine vzw, Fred Op de Beek, Harold Henning, Laurence Hermant, Frédéric Vannes
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2015
24/09 : Festival Moussons d’été, Pont-à-Mousson (F)
07 > 09/05 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
2011
13, 15 et 16/12 : Théâtre Le Grand Bleu, Lille (F)
2010
29/11 > 01/12 : L’Espal, Le Mans (F)
12/104 : Université François Rabelais, Tours (F)
27/02 : La Halles aux Grains, Blois (F)
25/02 : L’Archipel, Fouesnant (F)
19/02 : Eysines, Bordeaux (F)
19 > 23/01 : Théâtre Le Grand Bleu, Lille (F)
2009
13/06 : Centre Culturel Jacques Franck, Bruxelles (B)
26/05 : Centre Culturel Adhalard, Corbie (F)
23 > 24/04 : Centre Culturel de Péruwelz (B)
12/02 : Festival VRAK, Bruxelles (B)
2008
03/12 : Le Palace, Montataire (F)
28/11 : Vernouillet (F)
25/11 : Festival JAZZ SOUS LES POMMIERS, Coutances (F)
28 > 29/10 : Festival GENDERBENDER, Bologna (I)
06 > 07/10 : Scène Nationale L’Equinoxe, Châteauroux (F)
27/09 : Centre Culturel de Dinant (B)
19/07 : Festival CONTRE-COURANT, Avignon (F)
08 > 09/07 : Festival DIESE, Dijon (F)
27/06 : Festival NUITS CARREES, Antibes (F)
23/05: Salle Jean Vilar, Revin (F)
04 > 05/04 : Comédie de Saint-Etienne (F)
01/04 : Espace Jean Vilar, Ifs (F)
30/03 : Scène Nationale Le Carré, Château-Gontier (F)
28/03 : Théâtre de l’Hôtel de Ville, Saint-Barthélémy-D’Anjou (B)
25 > 26/03 : Onyx, Saint-Herblain (F)
18 > 20/03 : TU, Nantes (F)
15/03 : Théâtre de Verre, Châteaubriant (F)
11/03 : Manicle, Le Havre (F)
06/03 : Théâtre du Saulcy, Metz (F)
28 > 29/02 : Centre Culturel René Magritte, Lessines (B)
20 > 22/02 : Maison de la Culture, Tournai (B)
12/02 : Maison Folies, Mons (B)
07 > 09/02 : Atelier 210, Bruxelles (B)
30/01 > 02/02 : Théâtre Royal de Namur (B)
2007
14/12 : Université Grand Littoral, Dunkerque (F)
09/12 : Festival PAROLES D’HIVER, Uzel (F)
07/12 : Théâtre de Roanne (F)
27, 29 et 30/11 : Maison des Comonis, Le-Revest-Les-Eaux (F)
24/11 : Akwaba, Châteauneuf-De-Gadagne (F)
16/11 : La Grande Ourse, Villeneuve-Les-Maguelones (F)
13/11 : ATP Aude, Théâtre Naloba, Pennautier (F)
10/11 : Festival PRIZUNIQUE, Théâtre de la Passerelle, Saint-Brieuc (F)
06/11 : Théâtre de la Tête Noire, Saran (F)
31/10 > 03/11 : Festival BIS-ARTS, Charleroi (B)
16/07 : Théâtre de l’Albanel, Treyvaux (CH)
02/06 : Arcques (F)
12/05 : Festival CHEMINS DE TRAVERSE, Noisy-Le-Grand (F)
24 > 27/04 : Festival MYTHOS, Rennes (F)
16/02 : Centre Culturel George Sand, Vitrolles (F)
08 > 09/02 : Trioletto, Montpellier (F)
26/01 > 03/02 : Théâtre Varia, Bruxelles (B)
2006
07 > 27/07 : Théâtre des Doms, Festival d’Avignon (F)
2005
16/12 : Carte Blanche à Flexa Lyndo, Théâtre Royal de Namur (B)
26 > 30/10 : Théâtre 2.21, Lausanne (CH)
“Le punk, c’est beau comme l’adolescence. C’est percutant, follement joyeux, morbide, sans limite, bruyant, contradictoire, électrique et ça résonne. « J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie » est LE spectacle punk de ce festival 2006. Sur scène : simplement l’apocalypse. (…) Ça joue de la guitare, des percus. Ça pense aussi. Ça crie, ça saigne, ça mange, ça vomit. Ça fait de l’humour, ça provoque. Pour que ce soit plus drôle, ça se filme. On pourrait croire qu’ils font n’importe quoi. Ce serait déjà pas mal vu la façon dont est baladé (consentant et rieurs) dans ce délire d’images, de sons, de sens. (…) On est encore dans la première partie, et ce n’est pas la plus surprenante.”
H.G.M.
agenda-culturel.com, 14 juillet 2006
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“En s’aventurant au Théâtre des Doms, on tombe sur une perle au titre improbable, second spectacle totalement foutraque et génial de la Clinic Orgasm Society. Ludovic Barth et Mathylde Demarez, concepteurs de cet OVNI disent aimer l’imperfection, et ils font ça parfaitement. (…) Difficile à raconter brièvement, et sans déflorer la trouvaille qu’ils mettent en oeuvre : Il faut littéralement le voir pour le croire.”
Jean-Marc ADOLPHE
Charlie Hebdo, 26 juillet 2006
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“Cruauté et humour. Assortis d’un nonsense qui semble régner en maître. Où diable tout cela va t-il nous mener? Ce qui jusque là apparaît comme un univers – irrésistible autant qu’impénétrable -, en phase de déconstruction avancée, révélera bientôt, au contraire, une construction systématique et singulièrement solide. (…) Foutraque et facétieux, survitaminé et hilarant, le spectacle recèle aussi une gravité sombre, une étrangeté sauvage, le tout régi par la formidable et rigoureuse inventivité d’une jeune équipe.”
Marie BAUDET
LA LIBRE BELGIQUE, 24 juillet 2006
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“Un spectacle indescriptible. Difficile d’en parler vraiment sans rien déflorer, pour vous en laisser, à vous aussi, le plaisir de la découverte. (…) Il vous faudra pousser les portes du théâtre pour découvrir cette petite perle d’inventivité.
Une idée inouïe et plus qu’originale va transformer ce foutoir burlesque en un ensemble délicieusement présenté. (…) Une seule conclusion donc : Chapeau bas Messieurs Dames!”
Muriel HUBLET
PLAISIR D’OFFRIR.be, 30 janvier 2007
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“Un véritable OTNI (objet théâtral non idéntifié!). Une pure merveille complètement délirante, des comédiens déjantés, un concept audacieux, une mise en scène colorée et très rythmée autour du couple, du conte, de la dissection des sentiments humains. Je ne peux dévoiler la surprise, vous m’excuserez de ne pas décrire davantage cette pièce à voir absolument!”
Chloé SONNIER
VIVANTMAG.fr
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“Ce conte d’un genre particulier est un foutoir magnifique, dépoussiérant avec humour les histoires de bons rois et de méchantes sorcières. (…) Drôle, le spectacle s’avère aussi cinglant. Prise sur le vif, entre sang et chair fraîche, la dissection des relations humaines prend même des allures d’expérience scientifique. (…) « Dès le début, précise Mathylde, on voulait travailler sur la matière, le concret, la viande. Un jour, Ludovic s’est imaginé graver le nom de sa copine dans un steak, comme on le graverait dans l’écorce d’un arbre. Pour lui, c’était une nouvelle façon de dire « Je t’aime ». Puis, dans le contexte du conte, des grenouilles et des princes, c’est devenu : J’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie ».”
Catherine MAKEREEL
MAD, Le Soir, 10 janvier 2007
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“C’est drôle, décapant, étourdissant et, soudain… (…) En tout cas, on est embarqué dans ce tourbillon ininterrompu de mouvements, de réparties cinglantes, de clins d’oeil trash et d’énergie rock. En fait, on s’amuse beaucoup mais, sans que cela ait beaucoup d’importance, on ne comprend pas bien où ils nous emmènent. (…) La seule certitude, c’est que le délire n’est pas prêt de s’arrêter. (…) Le procédé est si ingénieux qu’on s’ébahit autant sur la cuisine du spectacle que sur la nouvelle histoire qu’ils nous racontent. Et c’est bien suffisant pour rire et être conquis jusqu’au bout.”
Gilles KERDREUX
OUEST FRANCE, 26 AVRIL 2007
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“Accueil déstabilisant par la longueur inconnue d’un silence en théâtre. Scène sans coulisses. Rassemblement d’éléments hétéroclites et parfois étranges sur la scène. (…) Les sons et vidéo savamment utilisés, les chorégraphies pulsionnées accompagnent ce théâtre qui montre ses coutures et ficelles sans complexe à une salle hilare. C’est avec beaucoup d’humour et de dérision que la Clinic Orgasm Society nous parle du thème de la rencontre des sexes dans ce qu’ils ont chacun de fondamental. (…) Il en résulte un chaos (semble-t-il), sur scène et dans l’histoire, aussi réjouissant que les histoires que nous nous racontions tous enfants.”
Catherine GUIZET
LA PROVENCE, 13 juillet 2006